A l'Orient de tout
Nous ne faisons que passer
Tu nous apprends la patience
D'être le lieu et le temps
Toujours pour la prime fois
Toujours du souffle l'élan même
Qui du non-être tend vers l'être
Toujours présence renouvelante
Entre laves et rosées
Privés de fleurs, de feuillages
De consolables oublis
Tu tiens le nœud des racines
Au passage de l'ouragan
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